- françoisNouveau
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Age : 54
Nom du bateau : MAIMA
Port d'attache : NANTES
Date d'inscription : 26/02/2008
béquilles
Mar 26 Fév 2008 - 21:39
Bonjour à tous,
Nouvel et heureux propriétaire d'un 37 pieds en sandwich balsa , déja au sec pour divers travaux, je m'interroge sur l'utilité de béquilles pour ce bateau.
Apparemment très peu de Trismus en son équipé, vu la stabilité à l'echouage je suis tenté de supprimer les supports de béquilles traversant la coque.
Merci de vos avis et conseils
Nouvel et heureux propriétaire d'un 37 pieds en sandwich balsa , déja au sec pour divers travaux, je m'interroge sur l'utilité de béquilles pour ce bateau.
Apparemment très peu de Trismus en son équipé, vu la stabilité à l'echouage je suis tenté de supprimer les supports de béquilles traversant la coque.
Merci de vos avis et conseils
- francis31Vieux loup de mer
- Nombre de messages : 104
Age : 68
Nom du bateau : PACO
Port d'attache : Toulouse
Nation : Française
Date d'inscription : 16/11/2006
béquilles
Jeu 28 Fév 2008 - 0:24
salut François
J'ai le meme que le tiens , actuellement en restauration (grosse restauration int.et ext. ) derniere constatation en date , OSMOSE avec délaminage ponctuel .En passsant , FAIS GAFFE DE TON COTE .
Pour ce qui concerne les béquilles je n'en ais pas et je ne m'en porte pas plus mal ( penser que chaques trous dans ce bateau induit un risque d'osmose vu l'age ) , sur terre plein l'on peut utiliser par sécurité des pieds droit munis de crochets pour d'éventuelles réparations , c'est tout .
A+
J'ai le meme que le tiens , actuellement en restauration (grosse restauration int.et ext. ) derniere constatation en date , OSMOSE avec délaminage ponctuel .En passsant , FAIS GAFFE DE TON COTE .
Pour ce qui concerne les béquilles je n'en ais pas et je ne m'en porte pas plus mal ( penser que chaques trous dans ce bateau induit un risque d'osmose vu l'age ) , sur terre plein l'on peut utiliser par sécurité des pieds droit munis de crochets pour d'éventuelles réparations , c'est tout .
A+
Re: béquilles
Mar 4 Mar 2008 - 9:31
Salut François et Francis,
Un des arguments mis en avant, pour démarquer le Trismus des autres dériveurs lestés, est justement sa capacité de pouvoir s'échouer sans béquilles !
Jusqu'à 30° de gîte le bateau tient tout seul, au delà, bien sûr il se couche.
Mais comme il n'a pas une quille profonde, il ne s'incline que de 45°.
Celà arrive lorsqu'on est échoué sur un sol meuble et pas tout à fait dans l'axe d'écoulement de l'eau qui se retire.
L'eau fouille petit à petit sur un des cotés de la quille et le bateau s'incline doucement, jusqu'aux fameux 30° ! et là il tombe sur la hanche.
Le seul danger est la présence d'un rocher ou de tout autre chose à cet endroit là !!!...
En 32 ans de navigation, je ne compte bien sûr pas le nombre d'échouages volontaires, mais plutôt les très rares fois ou on s'est retrouvés "gîté" pendant une marée.
C'est drôle, mais autant on supporte de vivre gîté, lorsqu'on navigue au prés pendant plusieurs jours ; autant à l'arrêt c'est très inconfortable...
Pour confirmer ce que dit Francis au sujet d'un calage, lorsqu'on travaille sur le bateau à sec, est de mettre des cales sous la hanche.
C'est plus pour rassurer les badauds, que pour maintenir le bateau...
Jacques
Un des arguments mis en avant, pour démarquer le Trismus des autres dériveurs lestés, est justement sa capacité de pouvoir s'échouer sans béquilles !
Jusqu'à 30° de gîte le bateau tient tout seul, au delà, bien sûr il se couche.
Mais comme il n'a pas une quille profonde, il ne s'incline que de 45°.
Celà arrive lorsqu'on est échoué sur un sol meuble et pas tout à fait dans l'axe d'écoulement de l'eau qui se retire.
L'eau fouille petit à petit sur un des cotés de la quille et le bateau s'incline doucement, jusqu'aux fameux 30° ! et là il tombe sur la hanche.
Le seul danger est la présence d'un rocher ou de tout autre chose à cet endroit là !!!...
En 32 ans de navigation, je ne compte bien sûr pas le nombre d'échouages volontaires, mais plutôt les très rares fois ou on s'est retrouvés "gîté" pendant une marée.
C'est drôle, mais autant on supporte de vivre gîté, lorsqu'on navigue au prés pendant plusieurs jours ; autant à l'arrêt c'est très inconfortable...
Pour confirmer ce que dit Francis au sujet d'un calage, lorsqu'on travaille sur le bateau à sec, est de mettre des cales sous la hanche.
C'est plus pour rassurer les badauds, que pour maintenir le bateau...
Jacques
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